Voilà quelque chose que j’aimerai bien accomplir dans ma petite vie… seulement je suis loin d’être courageuse (et oui ) et de faire ce pèlerinage de l’âme et des yeux toute seule…aucune envie… J’avoue ne pas pratiquer la religion a 100%, j’avoue avoir des doutes sur certaine des choses que l’on nous enseigne, mais cette aventure c’est une chose que j’aimerai vraiment faire…
Ils sont des millions de pèlerins à emprunter chaque année ces célèbres chemins menant à la crypte de la cathédrale de Saint-Jacques de Compostelle en Espagne. Le parcours ne sera pas de tout repos. Le chemin est long et difficile mais il est également beau et plein de belles surprises. Chacun a ses motivations, la foi, qui le défi physique, la découverte de la France et de l’Espagne via ces voies qui les motivent. Moi ca serai le defi physique et la decouverte de la France et L’Espagne..
Je vais pas faire un exposé il y a déjà suffisamment de site sur la toile sur ce Pèlerinage juste des petites photos histoire de..
Siège des évêques du Vézelay dès le VIème siècle, Le Puy est une ville-phare du pèlerinage. Elle est considérée comme le point de départ de l’une des quatre routes ancestrales menant à Santiago. © Jean-Baptiste Bor
Le Camino Francès est le principal chemin qu’empruntent les pèlerins lorsqu’ils franchissent les Pyrénées. En partant de Saint-Jean-Pied-de-Port, il faut compter 33 jours de marche pour effectuer les 791 km qui mènent à la ville de Santiago-de-Compostela. Il y a deux moyens d’y accéder : le tronçon navarrais (col de Roncevaux depuis Saint-Jean-Pied-de-Port) ou le tronçon aragonais (col du Somport, Voie du Sud). L’été, il y a foule sur cette voie. Cathédrale gothique Notre-Dame de Burgos, h. 84m, est la 3em d’Espagne par sa hauteur.
St. Jacques de Compostelle est l’aboutissement du pèlerinage.© Nicolas Rodriguez
Un des symboles des pèlerins de St Jacques de Compostelle
Enfin, le pèlerin de Saint-Jacques se distingue, dès la première moitié du XIIe siècle, par l’emblématique coquille. De leur ancienne consécration à Vénus, elles tirent leur nom espagnol de concha venera. Ce sont ces veiras galiciennes, larges coquilles dont la forme rappelle celle de la main, que les jacquets ramassent sur la grève et ont coutume de coudre à leur chapeau, en signe de leur pérégrination, quand vient le moment du retour. L’auteur du sermon « Veneranda dies » y voit le symbole des bonnes œuvres s’épanchant de la main ouverte. Les légendes en font le signe de la puissance miraculeuse de saint Jacques, sauvant des flots tumultueux un prince que son cheval emballé y avait précipité. Sur le point de périr, le cavalier invoque l’aide du saint, et bientôt son corps se trouve miraculeusement repêché, tout constellé de coquilles.
C’est aussi la coquille ramenée de Compostelle par un pèlerin italien, qui fit jadis disparaître, aux dires du Liber Sancti Jacobi, par simple attouchement, l’énorme goitre dont était affligé un chevalier d’Apulie. Au XIIIe siècle, les évêques de Compostelle concédèrent aux boutiquiers établis sur le parvis de la cathédrale Saint-Jacques l’exclusivité de la vente de reproductions, en plomb ou en étain, des fameux coquillages. Toutefois le succès de la coquille compostellane fut tel que son usage se généralisa, et devint l’insigne commun de tout pèlerin
Quelques images du livre de Léonnard Leroux / Editions Déclics“Sacrés chemins de Saint-Jacques de Compostelle”
Hameau de Montbonnet
Tour Charlemagne et de la basilique Saint-Martin-de-Tours
Pour être sur d’être sur le bon chemin
O Cebreiro
Chapelle de Rochegude
Voilà vous trouverez beaucoup d’articles sur le net bien complets juste un petit article car ça fait partie de “mes univers”